Libérer une nation, des peuples est l’œuvre de toute une vie. Son excellence Kapend Elie Kanyimbu, Président national du FLNC et leader du système Union des Neutralistes Indépendants, UNI en sigle, s’est dédié corps et âme toute sa vie à cette œuvre de libération des peuples du monde entier en général et celle des Congolais en particulier.
Sa venue au monde n’était pas fortuite, elle était dûment prophétisée par des pieux envoyés de l’Eternel Dieu sur terre comme cela a toujours été le cas pour les élus et les missionnaires spéciaux.
Dans sa vie, il aura tout fait, du service militaire, de la carrière politique jusqu’à celle technique et même religieuse.
Bref, restant inflexible, par rapport à toutes les tendances politiques existantes, il présente et défend le système UNI capable de réunir toutes les nations du monde par sa doctrine qui est le Neutralisme Indépendant.
Le président Kapend Elie Kanyimbu est né le 28 décembre 1959 ; secteur de Muant-Yav, territoire de Kapanga, district de Lualaba dans la province de Katanga. Fils de papa Rend Paul Mukatchung et de maman Mafef Yind, tous décédés en 1998 à Musumba. Son père fut enseignant à l’école primaire Catholique à Kawend, cultivateur et chasseur réputé.
Il était aussi conseiller politique de Mr. Kapend Moïse Tshombe et co-fondateur respectivement de CONAKAT, CONACO et FLNC. Sa mère fut cultivatrice et éducatrice des enfants. Le président Kapend Elie Kanyimbu est né d’une famille de sept enfants dont il est le quatrième.
Père de cinq enfants, il est marié à maman Kataka Elisabeth Kayembe, le 06 octobre 1982 à Saurimo (Angola). Cette dernière est née à Lumang le 04 juin 1964 dans le territoire de Sandoa.Elle est éducatrice des enfants, spécialiste en intégration et réhabilitation des enfants orphelins et enfants vivants avec handicap. Fille du Docteur Kayembe Beston Mwalony ; médecin à l’hôpital méthodiste de Sandoa et de maman Kangaj Kayakez.
La naissance du leader du système avait été prédite par des prophéties liées à l’avenir du Congo, de l’Afrique et du monde. Il s’agit respectivement de celles de son arrière grand-père Kapend Kanyimbu, de maman Mwad-Anen et de papa Simon Kimbangu. Il y a lieu d’épingler aussi beaucoup d’événements vécus par ses parents avant sa naissance.
⇑Kawend est le troisième village en partant de la pierre de Rubemb construit en 1580 par Muant Yav Nawej-A-Nawez vers Musumba (chef lieu) des Lundais construit en 1600 par Mwant-Yav Muteb-A-Kasang. C’est le village natal du leader du système.
Natif du village Kawend, papa Kapend Kanyimbu ; joueur remarquable de Kisanji, fut un homme pieux et modeste. Il était le plus aimé par les siens, prônait des bons exemples en enseignant la parole de l’Eternel Dieu à ses contemporains. Ce qui lui valut une notoriété considérable dans la contrée.
Papa Kapend Kanyimbu est l’arrière grand parent du leader du système Kapend Elie Kanyimbu.
Un certain matin du 06 juillet 1887, papa Kapend Kanyimbu ; le mystérieux personnage, jouait sans cesse au Kisanji, en chantant avec un air grave, refusant même de manger durant toute la journée.
La famille remarquant son état psychologique très différent, s’inquiéta et cela attira l’attention de la foule (Kawend et les villages environnants). Il a joué toute la nuit au Kisanji.
Ce spectacle impressionnant dura toute la nuit et aux environs de 4 heures du matin, il s’adressa à son fils Nyembo-A-Muzal
(le grand père du leader du système) en ces termes : « Mon fils, aujourd’hui je vais monter. Mais tel que j’irai tel
que je reviendrai à la même date, même heure et en même lieu ».
Et, il reprit à chanter jusqu’à son ascension à 7 heures du matin, le 07 juillet 1887.
Juste après avoir parlé à son fils, il continuait toujours à chanter sous l’admiration de la foule. Comme poussé par une manivelle, il commença à monter au ciel. Il y eut des cris de joie, de stupéfaction, des pleurs qui accompagnèrent ce miracle.
A un certain niveau de son ascension, ses habits devinrent blancs comme la neige et fit un signe d’adieu pour disparaître dans les nuages.
N.B :
Un jour avant ce mystère, il y eut un tourbillon terrible qui n’avait laissé personne insensible.
Il y eut un autre fait à signaler dans ce même village de Kawend : une femme du nom de Muad Anen dont l’origine est inconnue apparaissait
chaque fois qu’il y avait une nécessité pour secourir la communauté.
Tout au début du culte matinal vers 9 heures, pendant qu’il entrait dans l’enclos en rameaux, le visage grave, le regard vif, il s’adressa en ces termes à la foule : (cfr. une partie tirée de l’intégralité)
« Il faudra une longue période pour que l’homme noir acquiert sa maturité spirituelle. Celle-ci lui permettra d’acquérir son indépendance matérielle. Alors, s’accomplira la troisième étape. Dans celle-ci naîtra un grand Roi Divin. Il viendra avec trois pouvoirs : pouvoir spirituel, pouvoir politique et pouvoir scientifique.
Je serai moi-même son maître. Je liquiderai l’humiliation qui, depuis les temps les plus reculés, l’on n’a cessée d’infliger aux Noirs. Car, de toutes les races de la terre, aucune n’a été autant maltraitée et humiliée que la race noire ».
Dans la prison de Kasombo à Lubumbashi, les Colons belges ordonnèrent à ce que le prophète et prisonnier innocent, papa Simon Kimbangu soit frappé. L’un des gardiens le frappa avec force ; ce qui lui fit saigner l’œil gauche provoquant ainsi une cicatrice.
Papa Simon Kimbangu, plein de tristesse, demanda au gardien : « Pourquoi m’aviez-vous frappé avec une telle ampleur ; moi qui suis votre frère noir ? ». Il essuya le sang et dit: « Gardien, n’ayez pas peur de cet acte ».
Papa Simon Kimbangu tourna le visage et s’adressa à l’autre gardien qui fut aussi son ami, papa Tshiteng Bernard (membre de famille du leader) en ces termes : « l’un de vos fils mettra au monde un enfant, son quatrième fils qui ira en exil dans un pays étranger pour sauver le Congo, l’Afrique et le monde. Vous serez une armée forte et invincible ».
Il s’adressa ensuite à tous les gardiens, au chef de la prison et aux colons belges disant : « Katanga n’est pas seulement la prison, Katanga c’est aussi la victoire. Il est confirmé que 35 ans après, retournera à la même heure, même date et année correspondante le Roi Divin. Je serai son maître, il naîtra au Sud-ouest du Katanga ».
Entretien de papa Simon Kimbangu avec les prêtres catholiques venus de Kisantu lui rendre visite à la prison d’Elisabethville (Lubumbashi). (cfr. Une partie tirée de l’intégralité)
« De la deuxième indépendance sortira un dirigeant ou président pour diriger ce pouvoir. Beaucoup ne l’écouteront pas mais un petit groupe seulement l’écoutera et le suivra. Son début sera très pénible et sera accompagné des menaces et d’emprisonnements. Mais par la puissance et la force de l’Eternel Dieu, il vaincra toujours. C’est lui qui formera le bon gouvernement et fera des miracles à la demande de la deuxième indépendance. Gloire et bonheur à ceux qui persisteront ».
Papa Simon Kimbangu apparut mystérieusement au salon du grand père du leader, lors d’une visite d’amitié. Il lui dit : «Ami, de ton fils naîtra un enfant historique et je serai son maître ».
Devenu cuisinier de la prison par circonstance, papa Simon Kimbangu n’avait de liberté que dans la prison et ne pouvait recevoir qui que ce soit sans l’autorisation personnelle du gouverneur de la province du Katanga.
« Le quatrième régime sera dirigé par un homme très calme et discipliné. Il aura une tâche très difficile pour pacifier le pays et mettra fin à tous les foyers de tension.
Il sera aidé et aura beaucoup d’argents pour reconstruire le Congo qu’il dirigera avec probité.
La sécurité sera garantie et pendant son règne, le Congo sera prospère. Il n’y aura plus d’esclaves. Chacun découvrira ses véritables origines qu’il joindra immédiatement ».
Comme dit précédemment, maman Mwadi Anen apparaît toujours lorsqu’il s’agit d’un problème important dans la communauté lundaise.
Un matin du mois d’avril 1957, elle est apparue très tôt à Kawend à 7 heures. Elle rassembla tous les habitants du village, toucha le ventre de maman Mafef Yind et dit : « Ce village est rempli de joie car, cette maman grosse à mes côtés, mettra au monde un garçon de promesse ». Puis elle disparut miraculeusement.
⇑En réalité, la date de naissance du leader, c’est le jeudi 07 juillet 1957 à 7 heures. Pourquoi alors ce changement de date de naissance ?
La réponse est simple. Tenez, dans son enfance, l’enfant fut plusieurs fois visité par les prêtres catholiques dans son village de Kawend à l’époque coloniale belge. Plus tard, ses parents furent convoqués par le chef du territoire afin d’expliquer auprès de l’administrateur territorial, la date et l’année exacte de la naissance de l’enfant selon les informations fournies par les prêtres de la mission catholique de ce territoire.
De ce fait, ses parents furent retenus au territoire pendant 48 heures ; obligés de fournir des informations aux missionnaires pendant que l’enfant leur sera retiré et gardé au couvent catholique de Ntita.
Heureusement, la situation fut décantée grâce à la présence de la sœur Elysée (une portugaise) du couvent catholique qui alla informer l’Empereur Mwant Yav Ditende Nawej et ses notables pour intervenir auprès de l’administrateur et les missionnaires catholiques de Kapanga pour l’Etat belge.
Alors, Mr. Mbay Elias, un moniteur ambulant de la chefferie ayant suivi de près cette situation, changea la date de naissance de l’enfant au 28 décembre 1959 afin de camoufler les pistes de recherche opérées par les colons suite aux différentes prophéties liées à sa naissance. Cette difficulté s’était posée à cause de l’obstination de ses parents de faire enregistrer l’enfant auprès des autorités belges.
Pendant sa jeunesse, l’enfant de promesse fut visité et appelé par douze (12) inconnus vers 1 heure du matin, le 28 décembre 1968 dans sa chambre. Au nombre de douze, il y avait 11 personnes de la race blanche vêtues des soutanes blanches et une douzième de la race noire vêtue d’une soutane noire. Les onze (11) personnes présentèrent la douzième comme étant leur chef.
Ce dernier (le chef) dit : « Je suis ton maître qui t’avais appelé à 17 heures, le vendredi malgré tu eusses confondu ma voix de celle de ton père. Je t’avais rencontré au champ de ton père et je t’avais amené quelque part.
J’avais promis que je reviendrai avec des visiteurs, nous voici donc. Tu accompliras une mission en exil ; en Angola, terre de tes ancêtres pour préparer le retour de la clé de vie. Voici ta femme et tes enfants. Chaque fois et en toute circonstance, je serai avec toi. Ta femme protégera les orphelins, les veuves et les veufs ; tes enfants seront ton appui ».
Note : il y a lieu de signaler que bien avant la visite nocturne, le vendredi à 17 heures au champ, l’enfant était appelé par un inconnu dont la voix était similaire à celle de son père. Ayant répondu à l’appel, il trouva l’inconnu assis sur le tronc d’arbre occupé d’habitude par son père.
Surpris, il engagea une conversation avec l’enfant Kapend Elie Kanyimbu. Il promit de revenir la nuit accompagné des visiteurs et l’inconnu disparut.
L’enfant raconta à son père tout ce qu’il venait de vivre. Papa Rend Paul Mukachung prit des dispositions adéquates en décidant de veiller toute la nuit arme en mains. Malgré sa vigilance, la visite eut quand même lieu car il s’endormit profondément.
Après avoir parlé à l’enfant (leader), le chef prit le livre, le posa sur la tête de l’enfant et qui, pénétra. Ils chantèrent en chœur : « Fiers de nous revoir », puis ils disparurent d’un coup. Devant une telle manifestation, l’enfant Kapend Elie Kanyimbu cria au secours et ses parents intervinrent mais trop tard, il n’y avait plus personne.
Cette visite avait marqué tous les habitants des villages environnants, surtout sa famille.
Comme on peut le remarquer, la jeunesse du leader fut marquée par des mystères. Tenez, encadré spirituellement par les prêtres catholiques de Kasa, une mission catholique située à 3 Km de son village natal Kawend, l’enfant fut initié à l’apprentissage du catéchisme ensemble avec d’autres jeunes de sa collectivité.
Il témoignait aussi d’une estime particulière auprès du prêtre diocésain Arnould, de nationalité belge qui l’appréciait par ses compositions et sa manière de chanter ; surtout qu’il était un bon animateur.
Survint un jour où un mystère s’opéra sur la liste des élèves à baptiser. Ayant prélevé et confectionné la liste des enfants à baptiser, le nom de l’enfant Kapend Elie Kanyimbu ne s'y figurait pas.
A trois reprises on changea des listes, la situation demeura inchangée. Ce phénomène incita le père supérieur de Kolwezi à visiter l’enfant et ses parents.
Malheureusement, le père supérieur connut un accident en cours de route où il verra son bras fracassé. Il se détourna de sa mission pour se faire soigner à Kolwezi.
Qu’à cela ne tienne, au cours d’une réunion des missionnaires en présence de ses parents tenue en 1970, l’enfant
Kapend Elie Kanyimbu déclara ce qui suit :
« J’attends le programme, car le message est arrivé. Je serai baptisé le
même jour avec mon premier fils ; pas ici mais dans ma maison d’origine ».
En 1984, soit 14 ans après, cette déclaration (prophétie) s’était réalisée car le président Kapend Elie Kanyimbu fut baptisé à Dundu en Angola, par le pasteur Mulumbule et son premier enfant par le pasteur Raphaël Kabita dans l’Eglise Kimbanguiste, chez lui dit-il, le même jour.
Notez que, plus tard, le leader fut consacré Diacre en 1992 par son Eminence papa Diangienda Kuntima Joseph (Chef spirituel de l ’Eglise Kimbanguiste), après 15 ans de vie en tant que Catéchiste.
L’enfant Kapend Elie Kanyimbu et ses compagnons étudiaient l’histoire orale entre 1960 et 1970 au figuier (le feu du soir) ; laquelle fut enseignée par les vieux du village. Il allait souvent à la chasse avec son père.
Etant de la lignée impériale, dès l’enfance on devrait l’initier à braver la peur devant n’importe quelle circonstance.
C’est pourquoi, un jour son grand-père l’amena en brousse pour qu’il assiste à la lutte qui devrait avoir lieu entre son grand-père et un lion mystérieux. Il lui fit cette invitation à deux reprises et chaque fois que le grand-père eut à lutter, il ricanait. A la fin, le grand-père lui dit : « Jeune homme, tu es devenu un homme ».
Après ces actes d’initiation lundaise, le jeune homme était alors capable et prêt à chasser seul. De ce fait, il devrait prouver qu’effectivement il avait grandi. C’est aussi qu’un jour, en pleine chasse, il rencontra un lion.
Pendant à peu près une heure du temps, ils se fixèrent et finit par dire au lion : »Tu es chasseur et je le suis aussi. Va t’en afin que je continue mon chemin ». Le lion fit volte face et s’en alla. Chemin faisant, ils se rencontrèrent de nouveau. Il lui répéta la même chose. A deux reprises, le lion refusa. C’est alors que le leader le tua.
Une autre fois, chassant seul, il crut rencontrer une antilope mais en réalité c’était un lion qu’il tua sur le champ.
Plus tard, ayant grandi et accompagné de son collègue de service ; en pleine nuit autour du feu, ils entendirent au loin le rugissement d’un lion. Il dit à son collègue et aux autres : »Prenez garde car ce lion arrivera jusqu’ici où nous sommes campés ».
Le collègue bouda et en s’adressant au leader il dit : « Qu’est-ce que tu connais en matière de chasse ? Il serait mieux de te taire ». Le leader insista en ces termes : « Prenons garde. Quand un lion devient silencieux, ce qu’il va bientôt attaquer ».
Le collègue vêtu de pagne, fut surpris par le jaillissement du lion. Il commença à crier avec sa voix fine comme un petit enfant. Le morceau de pagne tomba au feu. Finalement, le leader élimina le lion par quelques coups de balle.
En réalité, la vie prodigieuse du leader commença dès le bas âge. Revenant de l’école, son grand frère Jean Chisol Chinyam, refusa de manger des légumes. Ils partirent jouer au terrain Bana Mukoj. Soudain, ils aperçurent deux castors et le leader dit à son grand frère : « Attrapez-les ». Ce dernier eut peur car il ne s’attendait pas à voir ces animaux au stade.
Qu’à cela ne tienne, le leader les attrapa tous les deux. En rentrant à la maison ; les parents, ses frères y compris ses sœurs furent dans l’étonnement. Son grand frères trouva que la viande était de trop, le leader se moqua de lui en disant : » Vous vouliez la viande, mangez-en ».
Il aimait la compagnie des amis de son âge qu’il défendait énergiquement contre toute agression. Un jour, jouant avec ses amis, on l’appela brusquement l’informant que sa sœur ………. venait de succomber à cause des brûlures intenses. Ses parents l’implorèrent de pouvoir sauver sa sœur bien aimée.
Très jeune, il posa quand même la question à ses parents pour savoir pourquoi ils voulaient l’exposer très tôt du moment que son heure n’était pas encore venue ». Les parents insistèrent en le priant de le faire quand même en cachette.
Sur ce, le leader dit à tout le monde de sortir puis il pria, aussitôt sa sœur ressuscita. Il le fit malgré lui et s’exclama : « Normalement, nous n’avons pas droit de contredire la parole sacrée de l’Eternel Dieu ».
Dans le même ordre d’idée, cette fois-là il annonça le retour (la mort) probable de sa grande sœur, maman Chilemb Karumbu Véronique. Celle-ci était enseignante à l’école………
Il dit à ses parents : « Ne vous agitez pas, nous connaîtrons un cas de décès aujourd’hui à 15 heures ». Effectivement, le matin sa sœur alla à l’école comme d’habitude. Quelques temps après, elle revint se plaignant des maux de tête. On l’achemina à l’hôpital. A 15 heures comme prédit, elle rendit l’âme.
Sachez-le que maman Chilemb Karumbu Véronique est la mère de papa Noé Nawej.
Un autre fait épatant, au cours d’une chasse aux souris avec ses collègues de classe, il fut mordu par un serpent qui s’enroula sur son pied droit. Cette situation paniqua ses collègues qui prirent fuite mais lui, calmement, se dirigea droit à l’école. A l’entrée de l’école, il donna un petit coup au serpent qui tomba net. Peu après, le serpent fut achevé par les collègues de l’école et lui était sorti indemne de cette morsure.
Un meilleur joueur de football évoluant dans plusieurs équipes d’enfance dont Bana Cité Mukoz, on l’a surnommé « Du monde ». Il jouait très lent mais un bon buteur et était très apprécié par les spectateurs de la cité, ses professeurs même ses collègues de l’école.
Ses premières leçons lui furent données par ses parents. Depuis l’école primaire jusqu’aux humanités, il avait eu la chance d’être souvent élu chef de classe à cause de son calme et de son courage pour défendre ses collègues à n’importe quelle circonstance.
Un élève très sage et intelligent qui répondait aux questions des classes supérieures par rapport à son niveau. C’est pourquoi, il n’avait jamais échoué en classe et n’obtenait que la 1ère ou la 2ème place de sa classe entre 80% ou 100%.
A l’école primaire catholique de Musumba, il a eu comme enseignants :
Après avoir terminé le cycle primaire en 1970, il entra à l’institut Kimbanguiste de Musumba où il obtint son brevet de cycle d’orientation.
Afin de l’épargner de toute rencontre mystérieuse, ses parents l’envoyèrent à Lubumbashi chez son oncle Tshev Yav ; rencontres considérées par ses parents comme une menace à l’endroit de leur fils.
A Lubumbashi, il étudia à l’institut Matunda de la commune de Kenya, section scientifique avec comme préfet des études Mr. Muambay Mudilalolo et son aimable professeur, l’honorable Banza Mukalay Sungu.
Né dans la politique, il fut très tôt enrôlé par les vieux de son territoire au rang politique et militaire sans tenir compte de son âge. Ce qui fait que, déjà en 1964, il a été encadré comme pionnier de la révolution de CONACO et président communal des pionniers de Kapanga.
Le pionnier Kapend Elie Kanyimbu a effectué beaucoup d’autres missions politiques pendant sa jeunesse. Telle que l’opération « Mbinzo » où il devait faire passer les ex-gendarmes Katangais, des documents en Angola pendant que les frontières étaient sévèrement surveillées par l’Armée Nationale Congolaise (ANC). La liste de ces missions n’est pas exhaustive.
Entre 1973-1974, il participa à l’assemblée de mouvement de libération en Tanzanie. A la même période, il sera invité à l’assemblée des jeunes de Ndola en République de la Zambie au cours de laquelle il informa les délégués à ces assises, la future politique du Neutralisme Universel.
⇑Le 25 mai 1977 à Tshala en Angola, il y eut une pluie qui s’abattait partout. Et là où se trouvait le leader, il se forma un cercle exempté d’eau de pluie. Les gens qui étaient hors du cercle, trouvèrent refuge dans ledit cercle c.à.d là où se trouvait le leader.
C’est au cours de cet événement que le leader, par une vision, vit un taureau qui l’embêta pendant trente ans. Ce taureau le poursuivait partout, même s’il arrivait que le leader s’abrite sur un arbre ; le taureau l’attendait toujours au-bas de l’arbre.
Chaque fois qu’il essayait de se reposer, ce taureau revenait à la charge. Contraint de fouir, il traversa une rivière et le taureau était toujours derrière ses traces ; ne lâchant prise. Fatigué à force de fuir, le leader vit un enclos en forme de cercle entouré des bambous, laissant de ce fait une issue comme porte d’entrée.
En franchissant la porte pour trouvait un abri approprié, le taureau continuait à le suivre ; mais subitement il mourut net à l’entrée de l’enclos. Curieusement, le taureau commença à se décomposer, sur ce il pourrit fatalement.
A l’intérieur d’où il était entré, il vit un grand champ totalement séché et où les semences étaient infectées par des insectes. Au loin, le leader vit quelqu’un qui l’appelait et lui priait de prendre les calebasses pour arrosés le champ.
Il prit les calebasses et commençant à arroser. Tellement que le champ était vaste (travaillant seul), il finit par s’épuiser. C’est à quoi, la personne dira au leader qu’il allait arroser se champ avec son épouse et ses enfants. Effectivement, ils s’associèrent à lui pour continuer l’arrosage.
Malgré leur appui, cela n’avait pas du tout suffi à terminer l’arrosage vu la grandeur du champ. La personne dit ensuite, je vous enverrai encore sept personnes pour vous secourir ; ce dont elle fit. Pourtant, la personne insista : « par les sept personnes, deux abandonneront et cinq seulement tiendront le coup ». Ils se mirent donc à arroser, la famille restreinte et les sept compagnons.
Tout d’un coup, le champ devint tout vert. Arrivés au début du champ c.à.d à l’entrée, le leader raconta tout ce qu’il avait vécu. Il remarqua que le cercle n’était plus des bambous circulaires mais une carte en forme de celle de la RDC. A la place des plantes, c’était maintenant des personnes humaines.
Alors la personne en question, qui n’était rien d’autre son maître, posa la question au leader pour savoir ce que le leader voyait. Le leader répondit qu’il voyait la République Démocratique du Congo. A la fin, le maître dit au leader : « Voici le pays et les personnes humaines que je vous donne pour gouverner ».
Sachez qu’en 1977, le leader était encore célibataire. Cette vision allait se concrétiser par l’arrivée de l’équipe secrète (femme et enfants), l’équipe d’appui (les sept compagnons) puis tous les Neutridents autour du leader.
Comme évoqué plus haut, le leader fut très tôt enrôlé dans la vie politique et militaire. Animé d’un courage et d’une détermination extraordinaire, il était bien apprécié par ses admirateurs. Ce succès lui valut en 1977, d’être nommé membre du DOM (Département d’Organisation des masses) ; coordonnateur du camp de Kaïfembe dans la municipalité de Kambulu, province de Lunda-Nord en Angola.
La même année, après son transfert de Kaïfembe à Lukembe, il fut aussi nommé membre du comité central du FLNC s’occupant de la Direction des services généraux.
En 1977, au cours d’un déplacement à bord d’un bus, arrivé au niveau de Kamisombo, des barrières furent placées partout. Le bus était plein des Congolais (Zaïrois à l’époque).
Dans cette ambiance de guerre, les Congolais étaient indésirables de la part des Angolais. Tout Congolais attrapé, devrait être exécuté. Les militaires procédèrent au contrôle des passagers dans le bus. Ceux qui n’avaient pas de cartes d’identité avaient la trouille.
Le leader eut pitié d’eux puisqu’ils étaient après tout des compatriotes à la recherche d’une bonne vie en Angola. Il se mit alors à les saluer spontanément. Chaque fois qu’il passait la main à l’un d’eux en guise de salutation, tour à tour l’intéressé recevait mystérieusement une carte d’identité sous son nom. Tous furent sauvés ne sachant pas d’où sortait cette personne mystique et comment la remercier.
Toujours au cours de cette période, il fut invité au congrès de la JMPLA à Luanda où il prononça un discours axé sur le lancement du Neutralisme Indépendant.
Notez que le leader était déjà élevé au grade de major en 1978. C’est lors de la guerre de 1978 (13-19 mai), que le major Kapend Elie Kanyimbu se fera remarquer par sa bravoure.
Le 21 mai 1977, le leader avait prié pour que l’eau jaillisse afin de sauver des vies humaines. En effet, fuyant les attaques aériennes et terrestres des FAZ (Forces Armées Zaïroises) et alliés, la population affamée et assoiffée d’eau, ne pouvait plus marcher. Il y a lieu de signaler que les enfants, étant plus nombreux que les militaires, trouvèrent la mort en masse.
Les rescapés parmi la population avaient atteint la montagne de Buanandeke. Ils préféraient être éliminés physiquement qu’être rattrapés par les FAZ.
Devant cette impasse, le leader ému de compassion, monta sur une pierre et éleva les yeux au ciel et dit : « oh ciel, regardez sur la terre et que nous ne soyons pas comme Rachel qui avait pleuré à cause de l’eau ».
Après avoir prié en ces termes, il piétina la pierre puis y mit un doigt. La pierre devint humide et une flaque d’eau se forma en bas de la pierre. Quelque temps après, l’eau commença à couler et la foule s’y étancha. Revigorés, ils se mirent à marcher.
Notez que la personne que le leader ordonna de camper la foule fut le Major Mujinga Simon. Plus tard, ce petit ruisseau devint la rivière Kahungezi et en 1981, on y a jeté un pont.
Les différentes conséquences causées par ces deux guerres ont provoqué un embargo au parti où ses activités politico-militaires furent suspendues dans toute l’étendue du territoire angolais allant jusqu’à l’expulsion du Président Mbumba Nathanaël, alors président du FLNC.
Dans le maquis, passant d’un camp de concentration à un autre, le leader en tête, se perdurent en cours de route. Fatigués, ils ne savaient plus que faire. Tout d’un coup, un gros oiseau apparut et commença à leur indiquer le chemin.
Avec un peu d’efforts, ils atteignirent enfin le nouveau camp de concentration et en ce lieu, il n’y avait rien à manger. Le leader demanda à un pasteur de pouvoir s’associer à lui dans la prière. Ils prièrent ensemble et les prodiges ne tardèrent pas à se manifester.
La population ramassait les gibiers et il y avait du miel un peu partout. Du fait qu’il n’y avait non plus du fufu, ils furent le troc avec les chefs coutumiers des environs. Sur ce, la population reprit une vie assez normale.
Il est quand même intéressant de raconter certaines aventures vécues pendant la sortie du maquis. Les gens habitués à vivre en brousse, à marcher à pieds, devraient monter à bord d’un camion de marque Bedford. Le conducteur s’appelait ………………….
Dès leur sortie du maquis, le leader était l’un des privilégiés car, il reçut un Land Rover décapotable et une villa. En plus, le président Agostinho Neto le récupéra dans son palais où il apprit les arènes du pouvoir.
Le 1er jour dans la villa, il ne put dormir toute la nuit. L’un de ses amis maquisards crie quand on le conduisait. Quand il voyait des passants, à la place du klaxon, il disait : « Eh, quittez là, j’arrive. Je ne veux pas tamponner. Quittez s’il vous plaît ».
La vie devint très difficile pour le leader du système et le comité central se dispersa en Angola. Les uns vont se retrouver à Sangondo, Maua, Cacanda, Chimbila ; et les autres partirent en Guinée-Bissau, en Belgique, en Libye, en France, en Suède. Mais la majorité est rentrée au Zaïre (RDC).
Devant cette débandade, le leader se retrouva à Dundu (Lunda Nord), accompagné de Mukanda Mununga et Mbumba Muautende. Sur place à Chitatu, il devint enseignant à l’école primaire avec un salaire de 7 Kwanza par mois.
Lors d’un voyage avec son ami Mbumba Muautende, les documents de ce dernier disparurent dans la salle d’attente, juste avant l’embarquement.
L’ami se lamenta ne sachant à quel saint se vouer. Le leader serein, ne fit aucun commentaire se contenta de le calmer.
Ils embarquèrent donc de l’avion malgré la douleur au cœur de son ami. Dans l’avion, les pilotes furent surpris par l’entée des corps célestes. Les visiteurs inconnus calmèrent les pilotes vu qu’ils avaient peur et l’un d’eux dit : « Nous ne venons pas pour vous troubler mais plutôt notre chef ».
Passant de l’autre côté, ces visiteurs inconnus remirent des documents au leader, qui à son tour, les remit à son ami Mbumba Muautende. Peu après, les visiteurs inconnus sortirent par les toilettes.
Plus tard, il devint commissaire provincial puis nommé gouverneur de cette province et enfin transféré à la société minière de Diamant d’Angola, le 3 mars 1979 avec un salaire de 100 Kwanza et progressivement à 3.300 Kwanza par mois. C’est au cours de cette année qu’il sera promu, coordonateur politico-militaire par le Bureau politique du MPLA ; mais travaillant en clandestinité.
En 1980, il effectua une mission à Moscou (URSS) avec cinq collègues de nationalité angolaise. Il s’agissait de :
Rentré en 1981, il fut nommé directeur de l’école Luxinene, école de formation des cadres et dirigeants du parti (MPLA). Il a aussi travaillé pendant 20 ans dans la société minière (Diamang) où il avait brigué différents postes de responsabilité. D’ailleurs, c’est encore lui qui fut le maître d’ouvrage de la clinique Sagrada Familia (Ilha de Luanda) au moment où il assumait l’intérim de l’ADGA.
Notez en passant que le leader Kapend Elie Kanyimbu exerça aussi la carrière de mécanicien automobiliste de marque diesel ; chef des pompiers. Il effectua aussi un stage en Suède dans l’entreprise Scania où il travaillant pendant un certain temps. Il fut aussi journaliste de programme lundais à la radio nationale de l’Angola.
Au cours de la même année 1981, sur invitation de l’ex-premier ministre Nguz Karl-I-Bond, il participa en clandestinité, à la formation du Parti Républicain Indépendant en sigle PRI.
Afin de renouveler les activités du parti mises jusque-là en embargo, il conclut en1982 certains accords avec les dirigeants du MLSTP (Mouvement de Libération de Sâo Tomé et Principe) du président Luis Pinto Da Costa; les dirigeants du MLCV (Mouvement de Libération de Cap Vert) du président Luis Pereira ; avec la Belgique, la Hollande et l’Allemagne.
Le 09 mars 1982, il était nommé officiellement coordonateur général du FLNC. C’est au cours de cette époque qu’il convoqua pour la première fois à Dundu, la réunion officielle. Et, le 15 mars 1982, il fut arrêté par la sécurité angolaise pour le problème du FLNC puis libéré 72 heures après.
Le 06 octobre 1982, il épousa Maman Kataka Elisabeth Kayembe. A ce propos, le choix de la femme que le leader devait épouser fut un mystère.
Déjà, lors de la visitation du 28 décembre 1968, on lui avait présenté sa femme avec toute les caractéristiques. Sa principale tâche est celle de s’occuper des enfants orphelins et veuves (mères des orphelins).
Notons qu’en pleine jeunesse, nanti grâce à son travail, ses collègues de fois ses subalternes se moquaient de lui car, dans ce milieu on se mariait jeune. Lésé, il tenta à deux reprises de s’octroyer une femme, chaque fois on lui disait que ce n’était pas la femme idéale. L’une de deux femmes était une Namibienne et se transformait en animal.
Au cours d’une nuit, il eut une vision dans laquelle on lui annonçait l’arrivée d’un visiteur qui aura des vêtements mouillés. Ce visiteur viendra récupérer sa dette auprès d’un débiteur que le leader connaissait bien.
Effectivement le jour suivant, le leader vit le visiteur dont il était question pour un motif tel qu’on le lui avait dit pendant la vision. Le leader répondit au visiteur que le débiteur à qui il faisait allusion ne vivait plus dans la contrée. Sur ce, le leader conduisit le visiteur chez lui à la maison où il lui remit des habits secs et la bouffe.
Au cours de leurs causeries, le leader dit au visiteur : « comment va ma femme ? ». A cette question le visiteur rétorqua de quelle femme s’agissait-il. Le leader déclina l’identité complète de la fille Kataka Elisabeth Kayembe sans jamais l’avoir vue.
Au retour du visiteur dans son fief, le leader envoya des présents à l’actuelle maman Kataka Elisabeth Kayembe. Or, le visiteur dont on parle n’était rien d’autre que le beau-frère de maman Kataka Elisabeth Kayembe c à d le mari de sa grande sœur.
Cette dernière, surprise par la nouvelle au retour de son mari, mena une vie dure à sa petite sœur qu’elle croyait des relations intimes avec le leader ; pourtant elle était innocente.
Un jour, le leader arriva en personne à Saurimo pour vivre de près la jeune fille Kataka Elisabeth Kayembe. Pour vérifier ce qu’on lui disait par son maître, le leader demanda à la jeune fille assise entrain de tresser les cheveux, de lui donner de l’eau à boire. Quand elle s’est mise debout et en marchant, le leader se rendit compte que c’é tait la femme de sa vie.
C’est ainsi qu’il amorça le processus qui aboutira au mariage. Pendant le mariage coutumier, le leader dit à sa belle famille, les nombres et les dates de naissance de chaque enfant.
C’est pourquoi, en ce qui concerne les enfants, chacun a un rôle particulier à jouer dans sa mission. Nous trouvons : le soleil, la lune, la promesse du pont, le rénové et l’étoile. Effectivement, les enfants du leader naquirent à la date, au mois et à l’année prédits par le leader.
Le 13 mars 1983, le président Kapend Elie Kanyimbu procéda à la 1ère nomination des officiers supérieurs et généraux à Dundu (Lunda Nord).
Arrêté et transféré à Luanda, le 06 décembre 1983 sous le commandement des Lieutenants Ngangula et Mataku-A-Nzadi, le président Kapend Elie Kanyimbu sera gardé à FAPA (actuel aéroport militaire des Forces aériennes) par 22 militaires FAPLA (Forces Armées Populaires de Libération de l’Angola).
Dans la prison il se passa un miracle. Car, le 3ème jour de sa détention, un vendredi 10 décembre 1983 à 15 heures, trois hommes arrivèrent et ouvrirent la porte de la prison à l’insu des gardiens et l’emportèrent sans bruit.
Ce n’est qu’après le président Kapend Elie Kanyimbu se rendra compte qu’il est à Maianga où les trois hommes disparurent. Ce qui le poussa bien après, à se présenter auprès des services de la défense et de la sécurité angolaise.
Ce courage incita l’Etat angolais d’accorder au leader l’autorisation d’exercer ses activités politico-militaires officiellement.
En 1986, papa Diangienda Kuntima Joseph devrait effectuer un voyage en Angola mais chaque fois, le voyage avortait à cause des réves.
Pour la 1ère fois dans son rêve, papa Diangienda vit trois drapeaux dont celui de l’Eglise Kimbanguiste au milieu. Les deux autres drapeaux combattaient celui de l’Eglise Kimbanguiste. Pour ce, il annula le voyage pourtant le Président Dos Santos avait mis son avion personnel à la disposition du chef spirituel.
Pour la seconde fois, il vit trois pierres qui combattaient celle du milieu. Il annula une fois de plus le voyage.
Pour la troisième, il vit des véhicules qui venaient du Congo-Brazza e de la RDC (à l’époque Zaïre) qui se précipitèrent dans un grand abîme. Soudain, il y eut des termites qui sortirent de ce grand trou. Il annula aussi le voyage.
Les deux autres fois, ce sont les chrétiens Kimbanguiste qui louèrent les avions. Ils commencèrent à prier mais sans résultats.
Déçus, ils ignoraient les raisons du report répété de ce voyage. Papa Serge Wazanga, chargé des finances au collège ; principalement à papa Wanani qui était le président de cette collège, d’appeler le Général Kapend Elie Kanyimbu qu’il connaissait depuis Dundu.
Finalement, papa Simon Kimbangu permit à papa Diangienda d’effectuer son voyage.
Répondant à l’appel du collège des dirigeants, le leader (Général Kapend Elie Kanyimbu) prit un avion de la Sonangol pour atteindre Luanda.
A son arrivée, il leur retraça les rêves de papa Diangienda mais ils doutèrent un tout petit peu. Ils ne comprenaient pas comment quelqu’un se trouvant à Dundu, pouvait savoir les rêves de papa Diangienda vivant à Kinshasa. Le leader leur annonça l’arrivée de papa Diangienda pour le jour suivant à 9 heures ; malheureusement ils ne crurent pas.
En effet, le jour suivant papa Diangienda Kuntima atteignit Luanda à 9 heures tel que le leader l’avait dit. Mais comme le collège ne croyait pas ce qu’on leur avait dit. Mais comme le collège ne croyait pas ce qu’on leur avait dit, il (le collège) se trouvait encore à Golf ; leur centre d’accueil.
Quand on vint leur informer de l’atterrissage de papa Diangienda, ils se précipitèrent à l’aéroport pour le recevoir. Cette fois, il vint par l’avion personnel du Président Mobutu Sese Seko.
Lors de son allocution à Golf, papa Diangienda raconta textuellement ce que le leader avait annoncé d’avance concernant les raisons qui bloquaient son voyage. A ce propos, les fidèles s’étonnèrent et dirent à papa Diangienda : « Il y a quelqu’un qui nous a dit tout ce que vous racontez ». Sur ce papa Diangienda répondit : « Je le connais, il est là » indiquant du doigt le leader ; assis dans la foule, bien dissimulé. Papa Diangienda renchérit : « c’est la 1ère personne que j’ai vue quand je suis entré ici.
Entre 1987 et 1988, accompagné de sa femme et de ses deux enfants Kapend Mukachung Pitié et Chilemb Véronique Muilu, le président K.E.K visita sa famille en RDC ; son pays.
Au centre d’accueil, les trois fils de papa Simon Kimbangu l’attendaient. Venant à sa rencontre, les deux frères ainés passèrent directement dans la chambre de papa Diangienda.
Papa Diangienda face au leader, ils s’agenouillèrent instantanément pour se saluer. Un moment après, les deux rejoignirent papa Kisolokele et papa Dialungana dans la chambre où ils s’enfermèrent pendant plus de 2 heures du temps. Ils avaient parlé de l’avenir politique et spirituel de la RDC.
Aux années 90, le leader, par l’entremise du gouvernement angolais, avait ouvert beaucoup de carrières de diamants dans le but de donner l’argent au peuple Congolais. Rappelez-vous l’histoire Bana-Lunda.
Par la même occasion, c’es à travers lui que les Congolais eurent la facilité de traiter la carte d’identité angolaise. Ainsi, les Tigres pouvaient porter à la fois la carte militaire du FLNC de nationalité Congolaise et la carte d’identité angolaise. Cela devint officiel jusque dans le journal officiel angolais.
Out ceci démontre suffisamment, comment le leader recevait l’aide de l’Eternel Dieu à tout moment en terre d’exil. Cela nous rappelle parallèlement Moïse dans la maison de Pharaon en Egypte et le leader Kapend Elie Kanyimbu dans la maison du Président Agosino Neto en Angola.
Le 13 août 1991, il exposa la politique «Union des Neutralistes Indépendants» devant les instances des Nations Unies à Genève.
Rien ne se fait au hasard dans les actes du leader quant à ce qui concerne l’avenir de notre pays, en sa qualité de prophète politique.
Le 07 juillet 1992 à Nzagi en Angola, en pleine mission de service, il reçut une visite hors du commun. Papa Diangienda Kuntima Joseph (Chef Spirituel de l’Eglise Kimbanguiste); malade en Suisse, apparut au leader et lui dit : « Demain je monte. Les Congolais n’ont pas voulu respecter les enseignements de mon père. Nous leur avons retiré l’intelligence. Je viens te la restituer ».
Le leader rétorqua : «Puis-je vous accompagner ? ». Papa Diangienda Kuntima Joseph dit : « Non. Je monte seul ». Il lui livra beaucoup de secrets sur l’avenir de la RDC, ex. Zaïre.
Le leader retourna chez lui à Dundu et se hâta d’informer à son épouse maman Kataka Elisabeth Kayembe tout ce qu’il a vécu. Bien après, il alla à l’Eglise Kimbanguiste informer le pasteur Wazanga Serge. Ce dernier ouvrit grandement les yeux croyant que c’était une hallucination. Ce jour là, il avait émis des doutes ; refusant de croire tout ce que le leader lui disait.
Le 8 juillet 1992, une dépêche arrivant de la Suisse faisait état de la mort de Papa Diangienda Kuntima Joseph ; confirmant ainsi ce que le leader venait de dire auparavant.
Rappelons que c’est le 7 juillet 1957 à 7 heures que le leader est né à Kawend et le 8 juillet 1992 que papa Joseph Diangienda Kuntima fit le retour (rendit l’âme).
Comprenons par ce fait que le leader du système a la maîtrise de la politique congolaise dans son entièreté.
En 1992, l’Angola organise des élections générales ; sortant de ce fait du courant communiste. Les autorités angolaises ne sachant sur quel pied danser, sollicitèrent un concours au leader du système.
Le leader du système par reconnaissance, s’engagea à leur enseigner le Neutralisme Indépendant. Point n’est besoin de démontrer que l’Angola a pris un élan gigantesque grâce à ces enseignements.
Toujours au cours de ses différentes missions en Angola, le leader en avait vu de trop. Un jour, venant de Maludi pour Nzagi en mission de service, son chauffeur tamponna une fillette du nom de …….
> La famille mit du bruit mais le leader calma la situation en amenant l’enfant à l’hôpital. L’examen clinique confirma la mort de la fillette. La famille voulut en finir avec le chauffeur ; alors le leader leur posa la question suivante : « Que voulez-vous concrètement ? Le chauffeur ou l’enfant ? ». Elle répondit : « l’enfant ».
Signalons qu’une partie des intestins de la fillette était hors de l’abdomen. Elle commença déjà à se putréfier car c’était depuis 9 heures du matin qu’elle connut l’accident et elle était déjà morte. Le leader pria, récupéra la fillette et la leur remit vivante. Cela s’était passé à Nzagi. Le chauffeur eut la vie sauve ; hors de toutes menaces.
Plus tard en 1995, il établit son quartier militaire à Cacanda (Dundu). Et, en 1996 il fut associé par le gouvernement angolais à participer aux assises marquées par la formation de l’AFDL.
Le leader n’a pas eu une vie facile d’autant plus qu’il a toujours été défenseur des opprimés. Dans cette démarche, il fut incriminé un jour, comme étant de mèche avec la sécurité du MPR.
Il fut condamné à mort injustement. Grande était la surprise des bourreaux car, les balles ne le perforaient pas.
⇑Ayant constaté l’échec de la conférence nationale souveraine (CNS) en 1992, l’USORAL (Union sacrée de l’opposition radicale et alliés) sous Mr. Etienne Tshisekedi Wa Mulumba de l’UDPS, mandata Mr. Jacques Matanda auprès du président K.E.K ; alors général d’Armée se trouvant en Angola, en vue d’obtenir de lui une aide militaire.
Les choses sont allées tellement vite que, le 08 mars 1996, une commission fut créée entre le MPLA et le FLNC pour statuer sur cette sollicitation. Le président angolais, Eduardo Dos Santos, invita à son tour, le président Yoweri Museveni de l’Ouganda, le vice-président Paul Kagame du Rwanda et le président Major Pierre Buyoya du Burundi à assister à la réunion élargie.
D’autre part, le général d’Armée K.E.K invita et aux frais de son parti, le FLNC, messieurs Laurent Désiré Kabila et Kisase Ngandu pour qu’ils adhèrent à l’AFDL. Tous ces préparatifs se déroulaient en Angola.
Afin de donner à cette affaire une connotation purement Congolaise, il fut décidé de transférer cette opération de l’Angola en RDC juste à Lemera au Sud Kivu suite à sa perméabilité.
La suite, l’AFDL était aux affaires et le président Laurent Désiré Kabila n’ayant pas respecté les accords assignés à l’AFDL, va se méfier du FLNC ; allant jusqu’à lui refuser le retour de sa direction et de ses combattants.
Le FLNC, constatant que l’AFDL n’était plus un mouvement de libération mais plutôt un mouvement d’invasion et d’infiltration des Forces étrangères, ne participa pas à ce gouvernement mais poursuivit toujours son idéal qui est le bien être social des Congolais.
En bref, le FLNC ne trouve aucune opportunité à ce que la journée du 17 mai 1997 soit célébrée en RDC puisqu’elle a plus profité aux Angolais, Ougandais, Rwandais et autres forces.
N.B : Le général d’Armée K.E.K avait personnellement conduit les opérations de l’AFDL à l’Est de l’Angola vers la frontière de Kamako (Kasaï Occidental) jusqu’à Kinshasa, le 7 Avril 1997.
Au cours de la même année, il fut nommé président du FLNC à Luanda, année au cours de laquelle il recevra un groupe des compagnons d’appui constitué de :
Avec eux, ils vont former la base politique du FLNC/Neutralisme Indépendant pour renforcer toutes les opérations politico-militaires. Ainsi, les six compagnons occupent toutes les directions politiques du parti.
Le 18 août 2001, il ouvrit officiellement la 1ère conférence au cours de laquelle les combattants furent informés du processus sur le retour des troupes et de leurs familles en RDC.
Le 15 septembre 2001, il ouvrit la deuxième conférence pour confirmer les arrêtés de la 1ère conférence.
Le 13 août 2003, il installa le quartier politico-militaire de Viana/Sanzala (Luanda).
Du 30 décembre 2003 au 1er janvier 2004, le Président K.E.K ouvrit les bases politico-militaires à Malange, Cafunfo, Dundu, Saurimo, Luena, Bié et plus tard Negage.
Le samedi 31 juillet 2004, pendant son allocution à la parade, à Viana/Sanzala, le Président K.E.K parla de la prophétie du 31 juillet 1922 de Pa² Simon Kimbangu à propos de la naissance du Roi divin et de l’armée invincible.
Brusquement, d’un air grave et très concentré, il organisa une cérémonie en invitant toute l’assistance à cueillir une feuille de manguier, celui qui servait de hampe à la cloche (l’unique manguier à la parade), qu’on devrait par après lui remettre. Il ordonna à ce qu’on puisse garder toutes les feuilles dans un sac. Il dit enfin : « ces feuilles doivent être amenées au pays ».
Pendant la cérémonie, les abeilles voltigeaient au-dessus d’eux, du sud au nord, là-même au camp Viana/Sanzala. Le leader rappela à l’assistance : « ces abeilles sont les âmes des héros Congolais qui nous précèdent au pays ».
Il conclut en ces termes : « En 1959, pour la libération de notre pays, nous étions assistés par trois Armaguédons. Je vous confirme que cette fois-ci, ils seront au nombre de douze ».
Du 24 au 27 novembre 2004, il convoqua la 1ère réunion élargie à Luanda / Viana Sanzala où il forma le comité central et l’Etat major général des Tigres. A cette occasion, il nomma aussi les nouveaux officiers supérieurs et généraux de la FANC (Forces armées nationales Congolaises).
Le 10 septembre 2005, le Président Kapend Elie Kanyimbu voyage à Kinshasa pour installer définitivement le parti en RDC et négocier par la suite le retour de la direction politico-militaire ainsi que les troupes Tigres installées en Angola dans différents camps de concentration. De ce fait, il laissa le parti sous la direction de ses compagnons et fut accompagné par sept membres du parti.
Il s’agissait de :
Mais bien avant son voyage à Kinshasa, il avait déjà prédit en Angola à Viana, qu’une fois arrivé à Kinshasa, il occuperait 4 différentes habitations.
Effectivement, arrivé à Kinshasa, il occupa premièrement un appartement dans la cité de l’OUA, du 10 au 15 septembre 2005. Il était seul, trouva deux savons de toilette (vert et jaune). Il utilisa le vert comme cela lui avait été recommandé par son maître.
Dans l’entendement du Neutralisme Indépendant, le vert symbolise l’étendue de la planète terre et l’Eternel Dieu réside dans le vert ; allusion faite à l’espace divin.
En clair, il devait passer par là pour détruire toutes les forces maléfiques laissées par le Président Mobutu.
Deuxièmement, il occupa l’avenue Milambo n° 11, quartier Basoko, commune de la Gombe, du 15 septembre 2005 au 25 juillet 2006. Ici, il vivait avec les huit membres qui l’avaient accompagné. C’était le lieu de démarcation du leader avec les traitres.
Troisièmement, à Kin-Mazière, 3ème étage, appartement n°8 dit « salon Memling », du 25 juillet 2006 au 22 mars 2007. Cette habitation était destinée pour libérer et conquérir le Congo.
Enfin, la quatrième habitation, c’était à la Monuc/Base Ouest, quartier Kingabwa, commune de Limete, du 22 mars 2007 au 06 août 2008.
La mission principale dans ce lieu, c’était pour conquérir le pouvoir mondial.
Le 31 mars 2006, après l’unification et la restructuration du parti entre l’aile de la RDC et celle de l’Angola, le Président Kapend Elie Kanyimbu fut reconduit Président National du Parti.
Cette reconduction lui permit d’effectuer un certain nombre des missions en Occident pour trouver des fonds appropriés à l’évacuation des troupes restées en Angola.
Lors de ce voyage, il visita respectivement la Belgique, l’Allemagne, la France et la Hollande. Il était accompagné du Général de Brigade Mutombo Badibanga Prince.
En Belgique, il rencontra à la fois le Premier Ministre Karl De Gush, le ministre de la Défense André Flawo, le Roi Albert II et d’autres autorités. Dans ses rencontres, il était toujours accompagné de l’Excellence Yves Nawej ; le représentant du FLNC auprès de l’Union Européenne.
A la cour royale de la Belgique, le leader se montra plus que brave et déterminé. En effet, le roi lui proposa de demander pardon à la Belgique suite à l’humiliation lui infligée par les Congolais lors de la décolonisation. Le leader s’insurgea devant une telle déclaration ; rappelant le Roi toutes les atrocités subies par nos ancêtres et pères. Il dit au Roi : « jamais je ne ferai cela ».
Sur ce, le Roi déclara : « mon général, tous les présidents Congolais s’inclinent devant la cour royale mais vous avez refusé. Vous êtes un brave et méritez d’être président de la RDC ».
Monsieur Yves Nawej habitué à révérer le Roi voulut empêcher le leader à tonner mais ce dernier lui dit sèchement : « laissez-moi faire ».
En Allemagne, comme à l’accoutumée, un sondage fut effectué pour déterminer qui méritait d’être le Président de la RDC. Ce sondage fut porté sur le leader Kapend Elie Kanyimbu, le Président Joseph Kabila Kabange et le Vice-président Jean Pierre Bemba Gombo. Dans la salle où devait se dérouler ce sondage, tout le monde y était déjà entré. Le leader entra le dernier.
Mais dès que le protocole vit le leader entrait, il annonça : »Voici l’entrée du Président de la RDC ». Le leader fit son entrée avec pompe et acclamation. En fin de compte, le leader gagna ce sondage avec 68% devança le président Kabila et le Vice-président J.P Bemba.
C’est au cours de ce voyage qu’il rencontra le dernier garde du corps d’Hitler, Mr. Rochus Misch. Ce dernier dira au leader : « Je vous attendais avant de mourir ». Après un long moment de causerie, il remit au leader le livre intitulé : « J’étais garde du corps d’Hitler ».
En France, il rencontra Mr. Nicolas Sarkozy alors ministre de l’Intérieur. Leur entretien se porta aux questions liées sur l’Immigration et d’autres problèmes politiques concernant l’Afrique.
Il coupa précipitamment son voyage et dit au général de Brigade Mutombo Badibanga Prince : » Mon heure est arrivée, rentrons au pays car je serai arrêté et vous allez me nier ».
Le 13 mai 2006, le Président Kapend Elie Kanyimbu fut désigné président du Front pour la Défense du Congo (FDC) ; une alliance politique d’opposition qui regroupait 80 partis politiques. C’est au cours de cette période qu’il présenta sa candidature à la Présidence de la RDC mais qu’il retira par la suite pour des convenances personnelles.
Suite à la menace d’éclatement qui régnait à Kinshasa et eu égard aux déclarations du Président Joseph Kabila, ce dernier déclara à cette époque : « Si je n’organise pas les élections avant le 30 juin 2006, je démissionnerai ».
S’approchant de la date fatidique, la population s’était munie des machettes et les militaires décidés à faire la mutinerie. Dans cette ambiance morose, le leader en père de famille et rassembleur, invita toute la classe politique pour une rencontre à l’Eglise Sainte Anne de la Gombe.
A l’issue de ladite conférence, il fut décidé que toute la classe politique se réunisse à nouveau pour trouver les solutions imposées afin d’éviter le bain de sang.
Le leader, le général d’armée Kapend Elie Kanyimbu, accompagné du directeur Charles Mutshita Ilunga sillonnaient à travers les rues de la capitale. Dans ces répliques, il intimait l’ordre aux hommes en uniforme (militaires) de regagner leur caserne. Le même ordre concernait aussi la population en furie voulant en finir avec le régime Kabila.
Pendant ce temps, le Président Joseph Kabila, avait déjà pris fuite, il se trouvait à Butembo. C’est le leader qui lui dit à travers Samba Kaputo de pouvoir regagner Kinshasa, la nuit du 29 juin 2006.
Le 30 juin 2006, il s’était tenu au salon rouge du Ministère des affaires Etrangères, une réunion de toute la classe politique Congolaise au cours de laquelle le Président Kapend Elie Kanyimbu fut désigné Président de la transition pour conduire le pays aux élections libres et transparentes du mois de septembre 2006.
Le leader fut choisi car il a su calmer la situation. Le FLNC, par les Tigres devrait pacifier le pays ; d’où l’évacuation imminente des troupes et de leurs familles de l’Angola.
Les violons ne s’étant pas accordés entre certains dirigeants des partis politiques, Mr. Jean Pierre Bemba Gombo alors Président du MLC, va s’éclipser à Mbandaka où il va entamer sa campagne électorale à l’insu de ses pairs.
C’est ainsi que le 21 juillet 2006, le FDC par l’appui de Mr. Etienne Tshisekedi Wa Mulumba de l’UDPS, va renforcer sa position et confirmer de ce fait, dans la salle du Zoo, la désignation du Président Kapend Elie Kanyimbu.
Ce dernier, conscient de la tâche lui confiée par ses paires ; fort déterminé à sortir notre pays de l’impasse, s’est démené pour des élections dignes et transparentes. Souvent dans ses déplacements, il était accompagné du Général André Katambo Yaluzanga.
Une idée machiavélique naquit dans la tête du Général André Katambo. Un jour, il eut des entretiens cachés avec Mr. Samba Kaputo ; alors conseiller du chef de l’Etat en matière de sécurité. En termes clairs, il trahit son leader en contrepartie du grade de chef d’état-major général des FARDC.
Il était parmi ceux qui disaient au pouvoir en place que le leader du système voulait faire un coup d’Etat.
C’est ainsi que le jour de son enlèvement ; Samba Kaputo et ceux qui l’accompagnaient vinrent malignement prétendre s’entretenir avec le leader à Kin-Mazière. Sachant qu’il serait arrêté, il finit volontiers à accepter cette invitation.
A l’intérieur de Kin-Mazière, Mr. Samba Kaputo et sa suite, fermèrent les trois grilles. Le chef de la délégation, Mr. Samba Kaputo, était accompagné du Lieutenant Général Didier Etumba, du Général Kayembe, du Général Kashuva, des colonels Raüs, Kirambezi, du major Vangu et de Mr. Kanote. Mr. Samba Kaputo prit la parole à 19 heures et dit « Mon Général, c’est notre affaire, nous Katangais. Comment avez-vous associé les autres provinces ? Revenez à la raison et on en finit une fois pour toute. Nous devons faire 40 ans au pouvoir ».
Sur ce, le leader rétorqua : « Jamais, je n’accepterai une telle chose. Ma mission est nationale et universelle ». Il se tourna vers le Lieutenant Général Didier Etumba et le Général Kastshuva et dit : « Vous de l’équateur et du Kasaï, on me fait ça pour vous. Qu’en dites-vous ? Constituons une équipe pour lutter contre ce sentiment régionaliste ».
Comme on peut le constater, c’était du pur Katanguisme. Il fut donc mis en résidence surveille par la sécurité Congolaise pour motif politico-religieux.
Pendant ce temps, le Général Mutombo Prince nia le leader quand une femme travaillant à Kin-Mazière lui demanda s’il était avec le leader. Ce à quoi il répond : « Non, je ne le connais pas. Il m’a engagé temporairement pour le conduire ». Cela nous rappelle le disciple Simon Pierre niant Jésus Christ. En réalité, le leader été arrêté pour avoir défendu une cause nationale.
Quelques mois auparavant, au cours d’un malentendu Congolaises (Mr. Samba Kaputo dit au leader que : « Tant que je serai vivant, tu ne seras jamais président de la république ». Le leader rétorqua en ces termes : « Tu le dis si bien, quand moi je serai président de la République, toi tu seras déjà mort ».
C’est ainsi que, dès son arrestation à Kin-Mazière le 25 juillet 2006, le leader reçut la visite du Général des Forces Armées (FAA), la première pour se rendre compte de ses conditions de détention. Cette visite ne suffisait pas car une deuxième délégation ; celle de l’OUA conduite personnellement par le Président Denis Sassou Nguessou du Congo-Brazzaville rendit visite au leader.
Finalement il y a eu la délégation de SADC conduite par João Miranda, ministre des Affaires extérieures de l’Angola. Celle de Troïka c à d Europe, Amérique et URSS.
Les visites ne se sont pas arrêtées là, car le directeur international des Droits de l’homme était allé le voir réussi. Ce dernier exigea au Président Joseph Kabila de signer une décharge pour la garantie de la santé du leader ; une décharge signée par le colonel Raüs.
Enfin, vin la visite du directeur international de la Croix-Rouge pour exiger la désinfestation de l’appartement qu’occupait le leader.
Plus tard, le 31 juillet 2008, Mr. Samba Kaputo rendit l’âme pour confirmer ce qu’il avant prédit. C’est la sanction qui est et qui sera infligée à tous ceux qui oserait mettre des peaux de banane sur le chemin du prophète politique ; nous citons Son Excellence Mr. le président Kapend Elie Kanyimbu « Delut ». Car, il a été dit : « Tout celui qui s’opposera au leader du système, sera attaqué jusqu’à la moelle épinière ».
La nuit du 09 au 10 août 2006, le leader eut une vision à propos de l’évacuation. Le matin, s’adressa premièrement au Colonel Kikambezi en disant : « Les enfants de l’Eternel Dieu sont en route, ma famille et les troupes viennent déjà ». Par la suite il informa aussi le Colonel Raüs.
Le 25 juillet 2006, pour un motif politico-religieux, la sécurité Congolaise va procéder à l’enlèvement du Président Kapend Elie Kanyimbu pour le mettre en résidence surveillée à Kin-Mazière.
Pendant qu’il était toujours détenu à Kin-Mazière, les troupes Tigres (leurs familles et leurs biens) venues de l’Angola, arrivèrent en RDC à partir du 09 au 16 août 2006. Elles furent reparties de la manière ci-après :
L’arrivée des combattants venus de l’Angola marqua une ère nouvelle pour la vie politique du Président Kapend Elie Kanyimbu et celle du parti FLNC. Là où il était à Kin-Mazière, il donnait des injonctions politico-militaires pour la survie de ses combattants et l’organisation structurelle du parti.
Pendant sa détention à Kin-Mazière, le Président K.E.K était assisté sous multiples formes : spirituelle et physique. Spirituellement, au cours d’une journée marquée par une insécurité dans la capitale, il y eut une trêve où les travailleurs ne s’étaient pas présentés à leur lieu de travail.
La personne requise pour lui apporter de quoi s’alimenter n’était pas elle aussi au rendez-vous. Donc, dans l’ensemble, à Kin-Mazière, il y avait rupture de la ration ce jour là.
Pour se détendre, le Président K.E.K sortit au couloir assisté d’un gardien pour feindre un peu d’air. De l’autre côté du couloir, un corbeau vint avec un papier blanc entre les becs qu’il déposa sur le pavé. Le Président K.E.K ramassa le bout du papier qu’il dénoua et remarqua 1000 FC. Ce qui leur permit de s’approvisionner des pains consommés avec les gardes.
Citons un autre cas de deux policiers à Kin-Mazière au non de J. P. et Gaston. Un jour ils reçurent deux visiteuses, le leader observait la scène à partir du 1ème étage et dit aux deux amis policiers de ne pas sortir avec elles.
Le fourgue de la jeunesse l’emporte sur le conseil du vieil papa, ils furent séduits par les deux jeunes femmes. Evidement, ils sortirent pour aller s’amuser dans un hôtel. Arrivés à un certain niveau, J.P eu la présence d’esprit d’appeler le leader pour lui signifier qu’il avait laissé un bol de Nescafé dans son appartement (du leader).
Dès l’appel, l’une de deux femmes s’irrita et demanda à J.P connais-tu la personne que tu as appelé ? Pourquoi l’as-tu appelé ? La femme dit : « nous ne nous entendons pas avec cet homme ». Quand J.P entra dans la chambre, il trouva son amis Gaston mort.
Finalement, J.P découvrira que l’une de deux filles du nom de Louise, habitait Barumbu e venait de mourir il y a de cela deux semaines. J.P ne mourut pas mais fut arrêté pour raison d’enquête.
Avant sa sortie de Kin-Mazière, le leader s’accorda de libérer les prisonniers. Un prisonnier qui libère d’autres prisonniers, est-il ordinaire ? Cela prouve qu’il y était pour accomplir un sacrifice une mission particulière.
Tenez par exemple, un Colonel angolais au monde détenu à Kin-Mazière, avait vu une échelle venant du ciel par laquelle les enfants y montaient et y descendaient. Tellement qu’il était stupéfait, le leader l’avait calmé et quelques jours après, l’Angolais était sorti de Kin-Mazière.
Le Colonel Ntambue dit Morale ; celui-là même qui avait accueilli les enfants de l’Eternel Dieu (Les tigres venant de l’Angola), le 1é août 2006 y est passé aussi. Le leader dira sur son compte qu’il devrait séjourner à Kin-Mazière pour que le leader le voit. Finalement, ils ont partagé ensemble une tasse de café.
De fois, les gens écoutaient des bruits terribles dans les appartements du leader mais ne voyaient rien. Le leader avait prédit à l’équipe qui l’avait incarcéré (Mr. Samba Kaputo et consorts) qu’étant entré militairement, il sortirait militairement.
Après les émeutes du 22 mars 2007, Kin-Mazière était matraqué par des coups de balles au mortier. Il y sortit par la force de la sainte image. A cet effet, il indiqua une cave qui avait servie d’issue à certains policiers pour s’échapper. Ceux qui obtempérèrent, eurent la vie sauve. Beaucoup d’autres policiers moururent faute d’avoir douté de ce que le leader leur avait dit.
Quand à son tour, le leader sortit de Kin-Mazière la 1erè maison qu’il foula avant d’atteindre la Monuc fut celle de Mr. Azarias Ruberwa qui lui offrit une tasse de café.
Sous les coups de balle, Mr. William Swing mit un char de combat à la disposition du leader. Il obligea à la Monuc de ramener tous les militaires du MLC et leurs femmes ; enfermés dans la résidence du Sénateur Jean Pierre Bemba Gombo. Pendant que ce dernier se mit aux frais à l’ambassade Sud-Africaine ; abandonnant incroyablement ses militaires.
Dans les installations de la Monuc, un des militaires du sénateur Jean Pierre Bemba constata l’absence de son épouse qui était grosse. En pleurant, il implorait afin qu’on aille la récupérer ; malheureusement les casques bleus refusèrent. Devant une telle attitude, le leader intima l’ordre à ce qu’on retourna à ‘habitation du Sénateur Jean Pierre Bemba, récupérer ladite épouse y compris lui.
Ils retournèrent à la Gombe sous les coups de balle. Le leader entra seul dans l’habitation où aux cris de secours lancés par la femme, il finit par la retrouver, cachée dans un fût de 200 litres. Le leader la récupéra et l’aida à l’aida à entrer dans le char. Et, au moment que le leader voulut s’apprêter à entrer, l’équipage poltron ferma la portière ; abandonnant le leader sous les coups de balle.
En bravoure d’un général, il ordonna aux militaires qui venaient dans sa direction de cesser les tirs et en se présentant il dit : « C’est moi le Général Kapend Elie Kanyimbu ; cessez de tirer ». A leur tour, les militaires de la FARDC s’exclamèrent : « Eh, c’est le général ». Ils cessèrent de tirer. Ils cessèrent de tirer.
Mr. William Swing envoya un autre char de combat pour récupérer le leader. C’est alors que commença sa nouvelle vie à la Monuc ; Base Ouest/Kingabwa.
Le 22 mars 2007, suite à l’affrontement entre les militaires du Sénateurs Jean Pierre Bemba Gombo et ceux du gouvernement causé par la contestation du Sénateur du retrait de ses troupes dans sa résidence, le Président Kapend Elie Kanyimbu sortit miraculeusement de Kin-Mazière pour la Monuc (Mission de l’ONU au Congo). A la Monuc, il avait effectué d’intenses activités politiques, spirituelles, culturelles, scientifiques, etc.
Bref, il avait mis son séjour à profit pour démontrer les trois pouvoirs qu’il a : pouvoir spirituel, pouvoir politique et pouvoir scientifique.
Avant sa sortie de la Monuc c à d le 05 août 2008, il s’était tenu une commission mixte statuée par le Chef de l’Etat où il était question de libérer le Président Kapend Elie Kanyimbu de la Monuc et lui accorder l’autorisation d’exercer ses activités politiques. Cette commission était dirigée par le Général des Brigades Nabiola, Commandant de la onzième région militaire. Ont fait part à cette commission les représentants ci-après :
Le 06 août 2008, le Président Kapend Elie Kanyimbu sortit de la Monuc pour rejoindre sa base politique, située sur l’avenue de l’Indépendance n°261, cité Joli Site, quartier Mitendi, commune de Mont-Ngafula, ville province de Kinshasa en RDC, Afrique centrale, Monde.
L’arrivée du Président K.E.K à Joli Site avait propulsé le parti à un niveau tel que tout le monde voulait voir et entendre le président National. Il avait réorganisé le parti, aménagé le site par une politique du nouveau système d’urbanisation propre à lui et avait mis des moyens de déplacement pour d’éventuels besoins propres à l’organisation.
Le Président K.E.K avait en outre opéré des miracles qu’on ne pourrait étancher tous. Comme par exemple, le cas d’une fillette de 3 ans, du nom de Kiangebeni Dialungana Beyola.
Tenez, à la date du 04 octobre 2008 pendant que les membres venaient d’assister au culte matinal, la petite Beyola tomba dans un trou profond de 3 mètres. Pendant qu’elle se débattait pour sortir du trou, elle finit par s’ensevelir.
Après l’alerte générale, tout le monde accourut vers le trou, bêches en mains afin de venir à la rescousse de la petite.
Le Président K.E.K se promenant dans le site, sentit qu’il y avait un danger au camp. Il se dirigea là où l’esprit de l’Eternel Dieu lui indiqua c à d vers le trou. Sur place, il intima l’ordre à l’assistance de ne pas pleurer et indiqua la place qu’on devait creuser.
Il se concentra (regard vers le ciel), puis fixa longuement le trou. Pendant qu’on déterrait de part et d’autre, un bras s’est fait voir. C’est alors que le 1er fils du Président K.E.K, Kapend Pitié Mukachung, s’est introduit dans le trou où il retira l’enfant qu’il remit au Président K.E.K.
Ce dernier, tenant l’enfant entre ses mains, souffla sur lui et posa la question suivante à la petite : « comment ça va ? ». La petite répondit : « ça va bien ». Alors, le Président K.E.K remit l’enfant à sa mère qui avait déjà perdu l’espoir.
La foule qui avait elle aussi désespéré, fut étonnée de ce qui venait de se produire. C’est alors qu’il y eut des acclamations.
A la fin, l’assistance rendit grâce à l’Eternel Dieu pour avoir ramené l’enfant à la vie. Notez que l’enfant est restée 45 minutes dans le trou.
Il n’y a eu pas que ça, le Président K.E.K enseignait chaque jour le Neutralisme Indépendant et s’était beaucoup plus révélé par des proverbes, des dictons et des fables adressés à sa base et à ses interlocuteurs.
Un professeur assidu qui transmet facilement toutes les connaissances qu’il a. Des enseignements qu’on a jamais entendus mais qui semblent être utopiques aux yeux des certaines personnes.
En grand stratège politique et bon père de famille, le leader avait réussi pour la seconde fois les membres venant d’Angola et ceux rencontrés ici sur place en date du 29 mai 2010.
Qua-t-il fait dans sa stratégie.
Pour nous venant de l’Angola, il nous avait isolé à Joli Site pour que nous ne puissions pas rencontrer nos famille ; uniquement pour nous épargner contre la corruption qui mine nos frères rencontrés en RDC.
Néanmoins, il remarqua parmi nous des foyers de division du genre des religions. Jamais nous n’avions osé demander l’argent.
Quant à nos membres rencontrés en RDC, le leader leur dit ; « Quant vous venez à Joli Site, ne côtoyer pas une seule maison au risque de vous attacher à une religion, une tribu ou une ethnie. Il remarqua en outre qu’ils étaient très ambitieux politiquement ; raison pour laquelle certains ont fini par vendre le pays.
Nos compatriotes rencontrés ici aiment le pays à 40%, constata le leader. C’est pourquoi il les invite à ajouter 40 autres pourcentages pour qu’ils totalisent 80%. De ce fait, les 20% restants pour faire 100% seront atteints quand nous seront au créneau.
De tout ce précèdes, le 28 février 2009 et le 29 mai 2010, sont là les deux dates importantes qui avaient servies d’unification entre les membres venant de l’Angola et ceux rencontrés sur place en RDC.
Sa mission était plus marquée par 4 grandes étapes :
Bref, le Président K.E.K maîtrise bien l’armée, la politique et l’univers. Il incarne l’espoir des Congolais ; c’est donc la personne qui va redorer le blason terni du Congo et redonner de l’espoir au peuple Congolais, de l’Afrique et du monde.
Nos remerciements s’adressent aux différentes personnalités et peuples ci-dessous, pour leur apport de près ou de loin à cette œuvre grandiose :
1° Leurs Excellences François Mitterrand, Ronald Reagan, Leonid de Brejnev, Xavier Perez De Cuellar pour s’être réunis à Nice et faciliter la démocratie internationale.
2° Leurs Excellences membres du FLNC pour avoir déclenché ce vent de la démocratie internationale pendant les deux guerres.
3° Leurs Excellences membres du MPR pour avoir proclamé le multipartisme, le 24 avril 1990 au Zaïre.
4° Aux peuples allemands pour avoir détruit le mur de Berlin en appliquant le principe de la démocratie internationale.
5° Au peuple angolais pour l’hospitalité de plus de 30 ans à notre égard.
6° A l’équipe secrète du leader, il s’agit de :
7° A l’équipe d’appui, il s’agit de :
8° A l’équipe des défenseurs, il s’agit de :